La gestion de groupes au Burkina Faso

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« Tonton Magloire », membre de la 1re équipe SPV de Ouagadougou a donné une formation ayant pour thème : « gestion des groupes SPV, pendant l’animation des équipes « . Ce fut très apprécié de tous les participants.

Art oratoire et reboisement en Côte d’Ivoire

Pendant ce temps de Carême, les CPV (Communautés de préparation à la Vie) se sont données des moments de formation en art oratoire afin de permettre à nos Cpvistes d’être de véritables et talentueux porteurs de la Vie.  De plus, une formation au reboisement a été donnée afin de bénéficier davantage de plantations d’arbres.

Une formation du Carême au Cameroun

Une expérience de partage a été vécue au SPV Kondengui au Cameroun ce dimanche 18 février 2024 : un atelier d’apprentissage des mots du carême en langue anglaise, séance animée par une jeune Spviste. Un moment de pure joie, de découverte, de lumière. Merci Jenny !

Il faut savoir qu’une partie du Cameroun est de langue anglaise.

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31 ans de SPV à Chantal, Haïti

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La fin de semaine du 25 février, le SPV de Chantal (près des Cayes) en Haïti a souligné son 31e anniversaire de fondation. La fondatrice, S. Lise Tremblay, MIC, doit s’en réjouir dans son nouvel engagement auprès des immigrants à Granby.

Ce fut l’occasion de fêter et de célébrer en action de grâce pour toute la vie de ces années.

Un nouveau membre SPV au Madagascar

Le 24 février, Nomanina, fils de Nampoina et Landimanana Rabenantoandro, responsable SPV du Madagascar, a été baptisé. Communion et joie !

 

La joie du 60e en RD Congo

Les équipes SPV RD Congo continuent à favoriser la réflexion sur la vie. Le dimanche 11 février 2024, c’était la remise des signets soulignant 60 ans du SPV .

 

2e dimanche du Carême – 25 février 2024 – Allons en bas de la montagne !

2e dimanche du Carême – 25 février 2024 – Allons en bas de la montagne !

Il est fascinant de voir comment au fil des siècles les humains ont toujours grimpé au haut des collines et montagnes pour se faire proche de Dieu, comme si Dieu était à portée de main dans les hauteurs. Combien de monastères, églises, mosquées sont construits en hauteur pour tenter de rejoindre ce Dieu que nous aimons.

Dur coup en ce dimanche à la lecture de l’évangéliste Marc. Pierre, Jacques et Jean viennent de vivre une expérience extraordinaire avec Jésus et son Père. Ils sont pleins de lumière. Ils ne veulent plus quitter la montagne. Ils y sont bien. Est-ce que cela ne nous rappelle pas certaines expériences vécues lors de récollections ou retraites, de séjours dans des monastères, d’expériences de contemplation au milieu de la nature… ?

Jésus les ramène sur terre. Descendons de la montagne ! Et n’en parlez à personne ! Le message est d’une clarté. Il nous rappelle l’expérience d’Élie à la montagne. Il s’y était réfugié pour reprendre son souffle et parce qu’il ne croyait plus en l’efficacité de son action de prophète. Fort d’un bon temps de repos et d’une rencontre de Dieu « dans un fin silence », Élie est invité à descendre de la montagne pour aller sur le terrain continuer sa mission première.

Le texte de l’évangile d’aujourd’hui nous redit que c’est au bas de la montagne que nous sommes attendus, avec celles et ceux qui se débattent dans l’ordinaire de la vie de tous les jours. Jésus insiste : ne parlez pas de votre expérience de transfiguration. Non, l’urgence est de marcher sur les routes de la vie. Notre appel est encore et encore de faire refleurir les déserts. À quoi bon proposer des rencontres qui nous illuminent si nous ne savons pas marcher avec celles et ceux qui ont faim et soif, qui sont rejetés et victimes d’injustice, qui sont en quête d’un sens à la vie.

Le pape François nous le rappelle. Quittons nos lieux bien protégés et allons là où Dieu nous attend pour libérer la vie, l’aimer et la servir en toute simplicité par nos gestes, nos paroles, nos délicates attentions. Continuons notre marche ! Laissons-nous transformer par l’action de Dieu et le service de nos sœurs et frères les plus appauvris ! La traversée du désert n’est pas finie.

Jean-Marc St-Jacques, c.s.v.
Responsable général

Le SPV du Cameroun toujours en pleine action

Les activités sont relancées avec le groupe SPV DU COLLÈGE NOTRE DAME DES VICTOIRES à Yaoundé-Cameroun. Pour le début du carême, une question : que vais- je améliorer en moi pour devenir un Homme nouveau ? Quelle sera ma pénitence ? Les jeunes se sont lancés dans ce partage.

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Le SPV – kondengui en « missionnaire de la joie  » ont fêté à l’occasion des festivités de la Fête nationale de la jeunesse au Cameroun. Ce 11 février 2024, les jeunes se sont offert une balade écolo au parc naturel Charles Atangana à Yaoundé. Les jeux divers, la détente en plein air et le partage étaient au rendez-vous de ce bel après-midi ensoleillé. Merci SPV✨✨✨✨

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1er dimanche du Carême – Des déserts à faire revivre !

1er dimanche du Carême – 18 février 2024

Des déserts à faire revivre !

Les textes de la Parole de Dieu de ce dimanche (Gn 9, 8-15 et Mc 1, 12-15) sont un triste rappel des détours que nous avons pris au fil des années pour éviter de suivre l’entente conclue avec notre Dieu. Nous avons multiplié les déserts de la mort, de la faim, de l’exclusion, de la solitude…

Et pourtant notre Dieu a conclu une alliance avec nous où il s’est engagé à ne plus détruire la terre. « Aucun être de chair ne sera plus détruit par les eaux du déluge,
il n’y aura plus de déluge pour ravager la terre. » Qu’avons-nous fait de cette alliance ? Il y a tant de femmes et d’hommes qui n’ont pas accès au minimum pour vivre dans la dignité des filles-fils de Dieu qu’ils sont. Et que dire de notre planète terre qui aspire, elle aussi, à une libération de tout ce qui l’entrave.

Jésus s’est retiré au désert avant de commencer sa mission. Il a donc pris un temps pour affermir sa foi en lui-même, dans la capacité des humains de vivre debout et en son Père, source de création joyeuse. Quels sont nos satans d’aujourd’hui qui nous éloignent de cet idéal d’annoncer une Bonne Nouvelle, celle de l’arrivée du Règne du Père de tendresse et de justice ?

Prenons donc un temps cette semaine pour libérer des espaces dans nos vies pour y laisser de la place pour Dieu, les autres et nous-même. Le jeûne n’est pas un temps de privation, mais un temps de liberté retrouvée car nous nous serons détachés de ce qui nous empêche de vivre sereinement, joyeusement, pleinement confiants que notre terre a un avenir parce que nous serons des bâtisseurs de fraternité et de paix.

Alors, prenons notre semaine pour nommer nos satans et libérer nos vies de ce qui les engorge de choses inutiles. Ainsi, notre jeûne nous permettra de faire de la place pour les appauvris et les exclus autour de nous. Et nous serons lumière joyeuse !

Jean-Marc St-Jacques, c.s.v.
Responsable général